Chroniqué par Nicolas Gilles
Il ya eu une hype énorme autour de Axiom Verge, mais pourquoi au juste ?Story Telling
Je ne vais pas vous parler plus en détail du scénario d'Axiom Verge, mais de son histoire. Parce que je pense que c'est de là que vient l'engouement du jeu.
Le jeu a été développé par un seul homme, Thomas Happ, qui a mis cinq ans avant de proposer son jeu au public.

Le scénario est plutôt léger.
Autant dire que cela rappelle furieusement quelques mythes du jeu vidéo des années 1980, et notamment Another World d'Eric Chahi. Sauf que ici, on n'a que très peu d'originalité puisque Axiom Verge se veut être un hommage a Metroid.
Roulé sous les aisselles
Axiom Verge, c'est du roulé sous les aisselles. Tout simplement parce que tout est fait par une même personne : du code aux graphismes, en passant par les musiques.
Et forcément, un homme orchestre, ça a des points forts et des points faibles.

Vous allez régulièrement récupérer de nouveaux pouvoirs.
Côté point fort, on notera clairement la musique, qui vous plonge vraiment dans l'ambiance très fortement inspirée de Metroid sur Nes et Super Nintendo. Mention spéciale aux musiques lors des combats de boss, qui donnent à l'ensemble un aspect particulièrement épique.
Côté point faible, le visuel, tout de pixel art, me semble vraiment très limite et peu inspiré. Mais c'est une question de goûts.
Dans tous les cas, pas besoin d'un PC de compétition pour pouvoir y jouer. Pas besoin donc de comparer les pc portables de jeu, bien que le notebook MSI GT76 reste une valeur sûre pour pouvoir jouer ergonomiquement.

Certainement la phase la plus connue d'Axiom Verge.
Du classique, avec quelques originalités
Le déroulement d'Axiom Verge tient du pur Metroidvania. Au gré de votre progression, vous allez récupérer de nouveaux pouvoirs qui vous permettront de progresser dans l'aventure.
Vous armes évoluent elles aussi, afin de vous faciliter la vie. Vous vous constituerez rapidement un arsenal plus puissant, avec des armes diverses qui vous serviront à occire plus facilement certaines types d'adversaires.
Vous récupèrerez également de nouvelles aptitudes, ce qui est la base d'un Metroidvania.

Les boss sont simplistes dans les paterns, mais cela ne veut pas dire qu'ils sont faciles à occire.
Là où Axiom Verge innove, c'est au niveau d'une arme qui fait tomber le quatrième mur, comme on aime bien dire dans les milieux où le jeu vidéo est érigé en tant qu'art (et où l'on est trop heureux de voir en
Story Telling
Je ne vais pas vous parler plus en détail du scénario d'Axiom Verge, mais de son histoire. Parce que je pense que c'est de là que vient l'engouement du jeu.
Le jeu a été développé par un seul homme, Thomas Happ, qui a mis cinq ans avant de proposer son jeu au public.
Autant dire que cela rappelle furieusement quelques mythes du jeu vidéo des années 1980, et notamment Another World d'Eric Chahi. Sauf que ici, on n'a que très peu d'originalité puisque Axiom Verge se veut être un hommage a Metroid.

Graphiquement, je ne suis pas fan.
Roulé sous les aisselles
Axiom Verge, c'est du roulé sous les aisselles. Tout simplement parce que tout est fait par une même personne : du code aux graphismes, en passant par les musiques.
Et forcément, un homme orchestre, ça a des points forts et des points faibles.
Côté point fort, on notera clairement la musique, qui vous plonge vraiment dans l'ambiance très fortement inspirée de Metroid sur Nes et Super Nintendo. Mention spéciale aux musiques lors des combats de boss, qui donnent à l'ensemble un aspect particulièrement épique.
Côté point faible, le visuel, tout de pixel art, me semble vraiment très limite et peu inspiré. Mais c'est une question de goûts.
Du classique, avec quelques originalités
Le déroulement d'Axiom Verge tient du pur Metroidvania. Au gré de votre progression, vous allez récupérer de nouveaux pouvoir qui vous permettront de progresser dans l'aventure.
Vous armes évoluent elles aussi, afin de vous faciliter la vie. Vous vous constituerez rapidement un arsenal plus puissant, avec des armes diverses qui vous serviront à occire plus facilement certaines types d'adversaires.
Vous récupèrerez également de nouvelles aptitudes, ce qui est la base d'un Metroidvania.
Là où Axiom Verge innove, c'est au niveau d'une arme qui fait tomber le quatrième mur, comme on aime bien dire dans les milieux où le jeu vidéo est érigé en tant qu'art (et où l'on est trop heureux de voir Thomas Happ comme un nouvel Eric Chahi).
Cette arme vous permet en effet de créer ou de corriger des bugs visuels du jeu, permettant ainsi de faire apparaitre des platesformes ou encore de supprimer des ennemis. C'est à la fois original et vraiment bien foutu.
Mais pour le reste, c'est un Metroidvania, avec son côté die and retry et son gameplay typique des années 1980. Bref, cela manque tout de même d'un bon poil d'originalité pour rester dans les mémoires....