Les Fabuleuses Aventures d'Aladdin

Chroniqué par Nicolas Gilles

Dès les premières images, les nostalgiques reconnaitront : graphiquement, c'est basé sur la version Megadrive !

Autant dire que c'est tout de suite plus sympa à jouer. Les différents niveaux proposés reprennent chacun un niveau de cette fameuse et excellente version Megadrive.
Sauf que cette fois, le jeu est sous la gouverne de l'apprentissage et de l'enfance, V-Smile oblige. Exit l'action trépidante de la version de nos souvenirs, on se trouve toujours dans un jeu de plates-formes, mais très simplifié. Il faut attraper l'item qu'il faut, en fonction de la mini-énigme qui est proposée. Il faut ainsi attraper l'objet écrit en haut à gauche, le chiffre qui correspond à la suite de chiffres manquante, faire du calcul mental, etc.

Le jeu suit le scénario du dessin animé de Disney, avec des interludes contés avec des écrans fixes.
On attend alors avec impatience le passage avec le tapis volant. Elle viendra, mais pas comme on l'imaginait. Cette fois, c'est en vue subjective, en profondeur dans l'écran, comme dans Space Harrier. Il faut alors attraper des colliers pour marquer un maximum de points.
Même le dernier boss est le même, avec le méchant Jaffar en Serpent ! Sauf que là, le gameplay est bien entendu totalement revu pour se la jouer plus éducatif.

Le personnage se déplace bien, et plutôt rapidement. On est loin de Winnie l'Ourson et sa lenteur exaspérante, mais il faut savoir qu'Aladdin s'adresse un des enfants un peu plus âgés, les énigmes sont donc un peu plus pointues.
Le jeu est jouable à deux, chaque joueur jouant à son tour au fur et à mesure de chaque niveau.