La fièreté des italiens en matière d'informatique. Fabriquant au départ des machines à écrire la firme s'est investie dans la micro, adoptant le standard IBM-PC, beaucoup de magasins en Italie portent encore son logo.
Ing C. Ollivetti & C. S. P. A. est née le 29 octobre 1908, fondée par Camillo Olivetti. Les premiers produits fabriqués par les vingt employés cette entreprise étaient des machines à écrire, qui sortaient à une cadence d'environ vingt machines par semaine. Leur première machine, la M1, sorti en 1911. Durant l'entre deux guerre, la compagnie pris de l'ampleur et devint vite un incontournable du secteur. Les ventes sortirent du territoire pour s'exporter à l'étranger, et même en dehors de l'Europe.
En 1933, Camillo passe la main à son fil Adriano qui devient directeur général et contribuera grandement à l'essor de la société. Dans les années 1950, la firme s'est tellement agrandie qu'elle est devenue leader dans son domaine : les machines à écrire. Afin d'agrandir encore cette puissance, Olivetti rachète durant la même année une des plus grandes entreprises américaine dans ce domaine : Underwood.
Le marché des machines à écrire n'étant plus aussi bon que quelques années auparavant, Olivetti décide de se lancer dans un nouveau domaine en plein essor : les technologies électroniques, qui deviendront peu après l'informatique. C'est ainsi qu'arriva le premier ordinateur italien en 1959 : le Elea 9003.
Au début des années 60, les changements de direction de l'entreprise consistant à se lancer dans l'informatique en abandonnant les machine à écrire ont semé pas mal de troubles chez Olivetti : la mort de son directeur, Adriano, ajoutant à la confusion et les moyens financiers étant plus que serrés, la division électronique est vendue. C'est Bruno Vientini qui prendra alors la tête de la société.
Mais après une période de restructuration, Olivetti persiste dans le monde de l'électronique et sort en 1965 un ordinateur qui préfigurait ce que serait la micro-informatique : le P101.
Durant les années 1970, Olivetti est remonté et progresse dans le monde de l'électronique, mais une nouvelle crise la plonge dans de sérieux problèmes vers la fin de la décénie. C'est Carlo De Benedetti qui lancera en 1978 une longue période de restructuraton au sein de l'entreprise, débouchant enfin sur une période stable et seraine pour Olivetti.
Revenant à ses premiers amours, Olivetti sort en 1978 la première machine à écire électronique. Mais le marché n'est plus là, et c'est une nouvelle actvité qui commence à exploser : la micro-informatique personnelle, grand publique. Les recherches aboutiront à un premier modèle d'ordinteur individuel en 1982 : le M20. Parallèlement, afin de prendre plus de poids dans l'industrie, Olivetti multiplie les ententes et les rachats, les plus importants étant probablement l'accord passé avec AT&T en 1983 et le rachat d'Acorn.
On vit ainsi sortir de nombreux périphériques, imprimantes et autre, ainsi que des calclatrices ou encore des caisses enregistreuses. Olivetti est désormais un acteur sur lequel il faudra compter. Le marché le plus porteur était bien entendu celui des compatibles IBM-PC, et les nombreux modèles sortis des usines Olivetti ne manqueront pas de la rapeller.
Dès le début des années 1990 Olivetti, toujours soucieux de ne pas louper le train, se lance dans l'ère des télécomunications et entreprend de profond changements dans sa façon de faire et son organisation afin de mieux coller à ce nouveau mode de travail. Une Startup est lancée en association avec d'autres grands de l'industrie informatique mais aussi des télécommunications : Omintel, qui devint opérationnelle durant l'année 1995. Une autre entité se crée, Infostrada.
Aujourd'hui, Olivetti est une des plus grosses entreprises de télécommunications, employant quelques 130 000 personnes, tout en gardant quelques activités dans le secteur de la micro-informatique.
Ing C. Ollivetti & C. S. P. A. est née le 29 octobre 1908, fondée par Camillo Olivetti. Les premiers produits fabriqués par les vingt employés cette entreprise étaient des machines à écrire, qui sortaient à une cadence d'environ vingt machines par semaine. Leur première machine, la M1, sorti en 1911. Durant l'entre deux guerre, la compagnie pris de l'ampleur et devint vite un incontournable du secteur. Les ventes sortirent du territoire pour s'exporter à l'étranger, et même en dehors de l'Europe.
En 1933, Camillo passe la main à son fil Adriano qui devient directeur général et contribuera grandement à l'essor de la société. Dans les années 1950, la firme s'est tellement agrandie qu'elle est devenue leader dans son domaine : les machines à écrire. Afin d'agrandir encore cette puissance, Olivetti rachète durant la même année une des plus grandes entreprises américaine dans ce domaine : Underwood.
Le marché des machines à écrire n'étant plus aussi bon que quelques années auparavant, Olivetti décide de se lancer dans un nouveau domaine en plein essor : les technologies électroniques, qui deviendront peu après l'informatique. C'est ainsi qu'arriva le premier ordinateur italien en 1959 : le Elea 9003.
Au début des années 60, les changements de direction de l'entreprise consistant à se lancer dans l'informatique en abandonnant les machine à écrire ont semé pas mal de troubles chez Olivetti : la mort de son directeur, Adriano, ajoutant à la confusion et les moyens financiers étant plus que serrés, la division électronique est vendue. C'est Bruno Vientini qui prendra alors la tête de la société.
Mais après une période de restructuration, Olivetti persiste dans le monde de l'électronique et sort en 1965 un ordinateur qui préfigurait ce que serait la micro-informatique : le P101.
Durant les années 1970, Olivetti est remonté et progresse dans le monde de l'électronique, mais une nouvelle crise la plonge dans de sérieux problèmes vers la fin de la décénie. C'est Carlo De Benedetti qui lancera en 1978 une longue période de restructuraton au sein de l'entreprise, débouchant enfin sur une période stable et seraine pour Olivetti.
Revenant à ses premiers amours, Olivetti sort en 1978 la première machine à écire électronique. Mais le marché n'est plus là, et c'est une nouvelle actvité qui commence à exploser : la micro-informatique personnelle, grand publique. Les recherches aboutiront à un premier modèle d'ordinteur individuel en 1982 : le M20. Parallèlement, afin de prendre plus de poids dans l'industrie, Olivetti multiplie les ententes et les rachats, les plus importants étant probablement l'accord passé avec AT&T en 1983 et le rachat d'Acorn.
On vit ainsi sortir de nombreux périphériques, imprimantes et autre, ainsi que des calclatrices ou encore des caisses enregistreuses. Olivetti est désormais un acteur sur lequel il faudra compter. Le marché le plus porteur était bien entendu celui des compatibles IBM-PC, et les nombreux modèles sortis des usines Olivetti ne manqueront pas de la rapeller.
Dès le début des années 1990 Olivetti, toujours soucieux de ne pas louper le train, se lance dans l'ère des télécomunications et entreprend de profond changements dans sa façon de faire et son organisation afin de mieux coller à ce nouveau mode de travail. Une Startup est lancée en association avec d'autres grands de l'industrie informatique mais aussi des télécommunications : Omintel, qui devint opérationnelle durant l'année 1995. Une autre entité se crée, Infostrada.
Aujourd'hui, Olivetti est une des plus grosses entreprises de télécommunications, employant quelques 130 000 personnes, tout en gardant quelques activités dans le secteur de la micro-informatique.